Santosha, une nouvelle cantine asiatique version street food ouvre près de Toulouse
29 avril 2021

L’enseigne Santosha débarque en plein cœur de Blagnac, près de Toulouse. Ouvert depuis le 21 avril 2021, le restaurant propose de la cuisine asiatique, inspiration street-food.

Une nouvelle cantine asiatique a ouvert à Blagnac (Haute-Garonne), près de Toulouse, mercredi 21 avril 2021 : la chaîne Santosha vient en effet d’ouvrir un nouveau restaurant au 3 boulevard Firmin Pons, en plein centre-ville.

en livraison et à emporter pour le moment

Cette enseigne a vu le jour à Bordeaux et compte déjà un restaurant à Toulouse. Deux associés sont aux manettes du restaurant de Blagnac : Rémi Boglio et Loïc Benard.

« Ouvrir un restaurant en cette période de confinement est un véritable pari, mais nous restons confiants. La pandémie a entraîné un boom des livraisons à domicile. En attendant de pouvoir recevoir nos clients, nous misons sur la vente à emporter et nos plats sont disponibles sur la plateforme Uber Eats ».

Rémi Boglio – Gérant du Santosha Blagnac

Plats de Thaïlande, d’Indonésie ou du Cambodge

Santosha propose des plats dans l’esprit d’une cantine asiatique. Pour l’ouverture, l’enseigne débute avec une carte réduite qui sera étoffée au fil des semaines. Mais on y retrouve les plats venus de Thaïlande, d’Indonésie ou du Cambodge : pad thaï, nasi ayam et Tao Paï Paï, le plat phare de l’enseigne.

Des entrées, des desserts et des glaces de la maison Philippe Faur complètent l’offre. Jusqu’à la fin du mois et pour fêter l’ouverture du restaurant, tous les plats seront proposés à 9,80 euros. Ensuite les prix s’échelonneront entre 10 et 12,60 euros.

Cinq autres restaurants en projet sur l’agglomération

Pour l’instant, Santosha se déguste en livraison et à emporter, mais quand les restaurants pourront de nouveau accueillir les clients, l’enseigne de Blagnac proposera une grande terrasse de 40 couverts et une salle avec trente couverts.

« À terme on aimerait ouvrir cinq autres restaurants Santosha dans l’agglomération, confie Rémi Boglio. Pas à Toulouse, mais dans les centres commerciaux ou dans les centres-villes des communes périphériques ».